L'énergie de l’eau, quèsaco ?

Tout dans l'univers est électromagnétisme, c’est-à-dire interactions entre particules chargées électriquement et l'eau n’y échappe naturellement pas.

La Bioléctronique de Vincent (BEV) est axée sur cette énergie primordiale, qu'elle met en évidence dans l'eau mais également dans les aliments ou dans les soins allopathiques, raisons pour laquelle elle dérange beaucoup de monde.

Les deux paramètres énergétiques de base - que l'on mesure assez facilement dans l'eau - sont les suivants:

- Le pH ou Potentiel Hydrogène mesure la capacité énergétique d'un milieu (sa charge en proton (H+) et son caractère acide ou alcalin. L'échelle varie de 0 à 14 avec une neutralité à 7. Une solution avec un pH inférieur à 7 est acide (riche en protons H+ et création d'un champ magnétique positif) tandis qu'il est basique ou alcalin si supérieur à 7 (pauvre en protons H+ et champ magnétique négatif). Une baisse d'un point de pH signifie qu'il y a 10 fois plus d'ions H+ et inversement.

- Le rH2 ou facteur d'oxydoréduction ou facteur électrique mesure le taux en électrons d'un milieu et sa capacité régulatrice. L'échelle varie de 0 à 42 avec une "neutralité redox" à 28. Une solution avec un rH2 inférieur à 28 est réductrice (riche en électrons qu'elle cèdera) tandis qu'elle est oxydante entre 28 et 42 (pauvre en électrons qu'elle captera).

Les eaux du robinet sont toujours alcalines (pour protéger la tuyauterie) et oxydantes (à cause des traitements dont le chlore) et peuvent donc être considérées comme énergétiquement "mortes". Idem pour les eaux en bouteilles plastiques. Il est heureusement possible de leur faire retrouver de l'énergie : des protons et des électrons, donc, via un bon système de filtration et de dynamisation.