Pourquoi donc ouvrir le débat de la qualité et de l'énergie de l'eau ? Il serait tellement plus simple de s’en remettre à la simplicité de l’eau, à la transparence des pouvoirs publics, à la pureté des messages du marketing. Bref, à laisser couler…
Mais si l’eau, en coulant, est capable de creuser la pierre, ne peut-elle également contourner et dépasser les préjugés et les malentendus ? C’est l’avantage de cette notion de qualité ou d'énergie : elle impose la subtilité. Impossible avec elle de rester sur le manichéisme bien/mal, polluée/pure, robinet/bouteille…
A y regarder de plus près, au-delà des paramètres officiels, on perçoit alors une eau échauffée par ce qui lui arrive, cristallisée par le dogmatisme, troublée au point d’être parfois imbuvable…
La majorité des problèmes de peau sont dus à une qualité d’eau potable chlorée et donc (très) oxydante (manque d'électrons et donc d'énergie électrique). La peau est asséchée et irritée, d’où le recours aux crèmes hydratantes et autres antirides. L’industrie de la cosmétique et son marché de plus de 200 milliards d’euros n’a aucun intérêt à ce que l’on améliore la qualité de l’eau.
Une bonne proportion des problèmes de santé proviennent d’un manque d’hydratation via une qualité d’eau potable chlorée et donc (très) oxydante (toujours en manque d'électrons) et alcaline (peu de protons). Peu arrivent à boire la quantité d’eau nécessaire au métabolisme de leur organisme… Les laboratoires pharmaceutiques et leur marché de plus de 1000 milliards d’euros n’ont aucun intérêt à ce que l’on améliore la qualité de l’eau.
L’essentiel des ventes d’eau en bouteille – 4 verres consommés sur 10 en France – découlent d’une perception négative de l’eau du robinet traitée et polluée. Les embouteilleurs et leur marché de 150 milliards d’euros n’ont aucun intérêt à ce que l’on améliore la qualité de l’eau.
Nous ne sommes pas ici dans la théorie du complot mais dans un simple constat : les pouvoirs publics ont la responsabilité de prévenir tout risque sanitaire. Peu coûteux et faciles à mettre en œuvre, chlore et ozone sont utilisés afin de contenir autant que possible bactéries et autres virus. Mais chlore et ozone, oxydants majeurs, irritent et assèchent… ne permettent pas une bonne hydratation… entraînent ainsi des problèmes de peau et des pathologies sur le long terme… ce qui arrange indirectement de nombreux intérêts économiques !
Il n’y a pas de complot. Il y a juste un avantage économique, financier et donc aussi in fine politique à ne pas parler de la qualité de l’eau, à ne surtout pas parler de l'énergie de l'eau. Cette omerta est de loin le principal scandale de l’eau !
Pourquoi donc ouvrir le débat de la qualité et de l'énergie de l'eau ? Il serait tellement plus simple de s’en remettre à la simplicité de l’eau, à la transparence des pouvoirs publics, à la pureté des messages du marketing. Bref, à laisser couler…
Mais si l’eau, en coulant, est capable de creuser la pierre, ne peut-elle également contourner et dépasser les préjugés et les malentendus ? C’est l’avantage de cette notion de qualité ou d'énergie : elle impose la subtilité. Impossible avec elle de rester sur le manichéisme bien/mal, polluée/pure, robinet/bouteille…
A y regarder de plus près, au-delà des paramètres officiels, on perçoit alors une eau échauffée par ce qui lui arrive, cristallisée par le dogmatisme, troublée au point d’être parfois imbuvable…
La majorité des problèmes de peau sont dus à une qualité d’eau potable chlorée et donc (très) oxydante (manque d'électrons et donc d'énergie électrique). La peau est asséchée et irritée, d’où le recours aux crèmes hydratantes et autres antirides. L’industrie de la cosmétique et son marché de plus de 200 milliards d’euros n’a aucun intérêt à ce que l’on améliore la qualité de l’eau.
Une bonne proportion des problèmes de santé proviennent d’un manque d’hydratation via une qualité d’eau potable chlorée et donc (très) oxydante (toujours en manque d'électrons) et alcaline (peu de protons). Peu arrivent à boire la quantité d’eau nécessaire au métabolisme de leur organisme… Les laboratoires pharmaceutiques et leur marché de plus de 1000 milliards d’euros n’ont aucun intérêt à ce que l’on améliore la qualité de l’eau.
L’essentiel des ventes d’eau en bouteille – 4 verres consommés sur 10 en France – découlent d’une perception négative de l’eau du robinet traitée et polluée. Les embouteilleurs et leur marché de 150 milliards d’euros n’ont aucun intérêt à ce que l’on améliore la qualité de l’eau.
Nous ne sommes pas ici dans la théorie du complot mais dans un simple constat : les pouvoirs publics ont la responsabilité de prévenir tout risque sanitaire. Peu coûteux et faciles à mettre en œuvre, chlore et ozone sont utilisés afin de contenir autant que possible bactéries et autres virus. Mais chlore et ozone, oxydants majeurs, irritent et assèchent… ne permettent pas une bonne hydratation… entraînent ainsi des problèmes de peau et des pathologies sur le long terme… ce qui arrange indirectement de nombreux intérêts économiques !
Il n’y a pas de complot. Il y a juste un avantage économique, financier et donc aussi in fine politique à ne pas parler de la qualité de l’eau, à ne surtout pas parler de l'énergie de l'eau. Cette omerta est de loin le principal scandale de l’eau !