Pouvoir boire, en Occident, de l’eau sans risque immédiat est en effet une chance à l’échelle de la planète ! 30 % de la population mondiale n’a pas accès à de l’eau potable et 60% ne dispose pas d’un service d’assainissement de l’eau sécurisé. L'eau insalubre est la première cause de mortalité dans le monde : 3,6 millions morts dont 90 % de moins de 14 ans. Plus de 360 000 enfants âgés de moins de cinq ans meurent chaque année de diarrhée. Autant de scandales géopolitiques. Autant de « droit à l’eau » bafoués !
D'un autre côté, est-ce parce qu'il y a de plus gros problèmes ailleurs qu'il serait interdit de questionner la qualité de l'eau localement ? Non et d'autant moins que parler (enfin) de la qualité de l'eau permet de parler de l'eau tout court et ainsi aussi de son injuste répartition. L'eau est un bien commun dont la qualité et l'accessibilité devraient être garantis.
Nous participeront à cette perspective avec la création de Sources solidaires dans les pays qui en ont le plus besoin.
Pouvoir boire, en Occident, de l’eau sans risque immédiat est en effet une chance à l’échelle de la planète ! 30 % de la population mondiale n’a pas accès à de l’eau potable et 60% ne dispose pas d’un service d’assainissement de l’eau sécurisé. L'eau insalubre est la première cause de mortalité dans le monde : 3,6 millions morts dont 90 % de moins de 14 ans. Plus de 360 000 enfants âgés de moins de cinq ans meurent chaque année de diarrhée. Autant de scandales géopolitiques. Autant de « droit à l’eau » bafoués !
D'un autre côté, est-ce parce qu'il y a de plus gros problèmes ailleurs qu'il serait interdit de questionner la qualité de l'eau localement ? Non et d'autant moins que parler (enfin) de la qualité de l'eau permet de parler de l'eau tout court et ainsi aussi de son injuste répartition. L'eau est un bien commun dont la qualité et l'accessibilité devraient être garantis.
Nous participeront à cette perspective avec la création de Sources solidaires dans les pays qui en ont le plus besoin.