Eh bien peut-être par celles qui sont les plus scandaleuses à savoir les manipulations qui émanent des pouvoirs publics ou des Régies publiques, donc avec l'argent des contribuables !
En faisant croire que l’eau du robinet est d’excellente qualité alors qu’elle n’est que "potable", les acteurs de l’eau ont une responsabilité majeure dans la dégradation de la santé liée à la consommation de l’eau chlorée. Cette communication est souvent faite au nom de l'écologie mais il s'agit alors d'une écologie dévoyée. Dans son sens premier, l’écologie – du grec oikos (maison, habitat) et logos (discours) – est en effet la science des conditions d’existence dans un environnement donné… et une eau aussi maltraitée et délétère que l'eau du réseau ne favorise naturellement pas de bonnes conditions d’existence, ne serait-ce que parce que l’on a du mal à la boire et donc à s’hydrater correctement.
La seconde arnaque concerne la norme de potabilité elle-même. De fait, la directive européenne ne parle pas « d’eau potable » mais de EDCH pour "Eaux Destinées à la Consommation Humaine". Cela fait plus technique et l’on évite la définition médicale de la potabilité « qui peut être bu sans danger pour la santé », sous entendu, même sur le long terme ! D'ailleurs, ces normes sont obsolètes et en berne depuis des années. Nous sommes du coup très loin de la biocompatibilité !
La troisième arnaque concerne le marketing des eaux minérales en bouteille. Alors que l'homme est hétérotrophe, les embouteilleurs essayent de nous faire croire que les minéraux de leurs eaux sont essentiels, avec l'aval de l'Académie de Médecine mais contrairement à ce que dit l'OMS. "Buvez éliminez" dit justement la publicité mais il ne s'agit pas d'éliminer les graisses mais les minéraux en excès via un surtravail des reins !
Par où commencer ?
Eh bien peut-être par celles qui sont les plus scandaleuses à savoir les manipulations qui émanent des pouvoirs publics ou des Régies publiques, donc avec l'argent des contribuables !
En faisant croire que l’eau du robinet est d’excellente qualité alors qu’elle n’est que "potable", les acteurs de l’eau ont une responsabilité majeure dans la dégradation de la santé liée à la consommation de l’eau chlorée. Cette communication est souvent faite au nom de l'écologie mais il s'agit alors d'une écologie dévoyée. Dans son sens premier, l’écologie – du grec oikos (maison, habitat) et logos (discours) – est en effet la science des conditions d’existence dans un environnement donné… et une eau aussi maltraitée et délétère que l'eau du réseau ne favorise naturellement pas de bonnes conditions d’existence, ne serait-ce que parce que l’on a du mal à la boire et donc à s’hydrater correctement.
La seconde arnaque concerne la norme de potabilité elle-même. De fait, la directive européenne ne parle pas « d’eau potable » mais de EDCH pour "Eaux Destinées à la Consommation Humaine". Cela fait plus technique et l’on évite la définition médicale de la potabilité « qui peut être bu sans danger pour la santé », sous entendu, même sur le long terme ! D'ailleurs, ces normes sont obsolètes et en berne depuis des années. Nous sommes du coup très loin de la biocompatibilité !
La troisième arnaque concerne le marketing des eaux minérales en bouteille. Alors que l'homme est hétérotrophe, les embouteilleurs essayent de nous faire croire que les minéraux de leurs eaux sont essentiels, avec l'aval de l'Académie de Médecine mais contrairement à ce que dit l'OMS. "Buvez éliminez" dit justement la publicité mais il ne s'agit pas d'éliminer les graisses mais les minéraux en excès via un surtravail des reins !