Le livre La qualité de l'eau liste 6 solutions dangereuses non recommandables :
L'adoucisseur à sodium est de loin la pire solution puisqu'il dénature l'ensemble de l'eau de la maison. Non seulement la prolifération microbienne est très fréquente mais son fonctionnement même est problématique puisqu'il remplace le calcium et le magnésium par du sodium. Il est souvent réglé beaucoup trop bas avec alors un risque de corroder la tuyauterie. Enfin, il n'est absolument pas écologique (rejet de sel et gaspillage d'eau) et est couteux. Bref, une note de -20/20 largement méritée et une référence négative des choses à ne pas faire.
Solution "extérieure" au réseau d'eau potable, l'utilisation de fontaine à eau apparaît comme une aberration économique, écologique et organique. Elle ne survit, en entreprise, que sur le mythe de l'eau en bouteille "meilleure pour la santé", la facilité d’installation et le coût réduit de la location mensuelle… et tant pis pour les risques potentiellement infligés aux collaborateurs : ceux qui craignent les bactéries n’ont qu’à boire l’eau du robinet ! Note de -8/20.
Les eaux ionisée, de leurs petits noms "Eaux ionisées alcalines réductrices" (EIAR) ont fait leur buzz et donc leur temps. Avec l’arrivée de l’eau hydrogénée offrant les mêmes caractéristiques d’antioxydation sans risque de nanoparticules de platine et pour une fraction du coût, il faudrait être sado-maso ou très mal informé (les revendeurs de ces systèmes veillent en ce sens à brouiller les pistes) pour encore investir dans l’eau très alcaline au prétexte de l’acidose de l’organisme. Note de -6/20.
Le distillateur est le système de filtration le plus puissant au monde mais la distillation n’a pas grand-chose à voir avec l’évaporation naturelle de l’eau dans la nature. Trop vide et totalement destructurée, elle ne pourra être utilisée que sur de courtes périodes ou devra être reminéralisée au préalable. Son coût énergétique est également important. Note de -4/20.
La carafe filtrante est la solution la moins couteuse mais elle est le plus souvent mal utilisée avec un risque important de prolifération microbienne et de relargage des polluants. La filtration est en outre a minima avec parfois un relargage de sodium. Note de -3/20.
Les fontaines filtrantes, enfin, offrent une qualité de filtration légèrement supérieure mais un réservoir aussi plus grand si bien qu'il est impossible de la stocker au réfrigérateur. Prolifération microbienne alors quasi assurée et eau plus alcaline revendiquée par certains fabricants, absurdité énergétique. Note de -3/20.
A l'exception des technologies ci-dessus, les notes sont dans le positif mais il faut une technologie associant filtration et dynamisation pour obtenir enfin une bonne note, signe d'une eau véritablement biocompatible.
Le livre La qualité de l'eau liste 6 solutions dangereuses non recommandables :
L'adoucisseur à sodium est de loin la pire solution puisqu'il dénature l'ensemble de l'eau de la maison. Non seulement la prolifération microbienne est très fréquente mais son fonctionnement même est problématique puisqu'il remplace le calcium et le magnésium par du sodium. Il est souvent réglé beaucoup trop bas avec alors un risque de corroder la tuyauterie. Enfin, il n'est absolument pas écologique (rejet de sel et gaspillage d'eau) et est couteux. Bref, une note de -20/20 largement méritée et une référence négative des choses à ne pas faire.
Solution "extérieure" au réseau d'eau potable, l'utilisation de fontaine à eau apparaît comme une aberration économique, écologique et organique. Elle ne survit, en entreprise, que sur le mythe de l'eau en bouteille "meilleure pour la santé", la facilité d’installation et le coût réduit de la location mensuelle… et tant pis pour les risques potentiellement infligés aux collaborateurs : ceux qui craignent les bactéries n’ont qu’à boire l’eau du robinet ! Note de -8/20.
Les eaux ionisée, de leurs petits noms "Eaux ionisées alcalines réductrices" (EIAR) ont fait leur buzz et donc leur temps. Avec l’arrivée de l’eau hydrogénée offrant les mêmes caractéristiques d’antioxydation sans risque de nanoparticules de platine et pour une fraction du coût, il faudrait être sado-maso ou très mal informé (les revendeurs de ces systèmes veillent en ce sens à brouiller les pistes) pour encore investir dans l’eau très alcaline au prétexte de l’acidose de l’organisme. Note de -6/20.
Le distillateur est le système de filtration le plus puissant au monde mais la distillation n’a pas grand-chose à voir avec l’évaporation naturelle de l’eau dans la nature. Trop vide et totalement destructurée, elle ne pourra être utilisée que sur de courtes périodes ou devra être reminéralisée au préalable. Son coût énergétique est également important. Note de -4/20.
La carafe filtrante est la solution la moins couteuse mais elle est le plus souvent mal utilisée avec un risque important de prolifération microbienne et de relargage des polluants. La filtration est en outre a minima avec parfois un relargage de sodium. Note de -3/20.
Les fontaines filtrantes, enfin, offrent une qualité de filtration légèrement supérieure mais un réservoir aussi plus grand si bien qu'il est impossible de la stocker au réfrigérateur. Prolifération microbienne alors quasi assurée et eau plus alcaline revendiquée par certains fabricants, absurdité énergétique. Note de -3/20.
A l'exception des technologies ci-dessus, les notes sont dans le positif mais il faut une technologie associant filtration et dynamisation pour obtenir enfin une bonne note, signe d'une eau véritablement biocompatible.