Côté administration, "Une eau de source est une eau d'origine souterraine, micro-biologiquement saine et protégée contre les risques de pollution". Elle se distingue d’une eau minérale par une teneur en minéraux pas forcément stable et donc l’absence possible d’allégation santé.
Via leur teneur stable en minéraux et en oligo-éléments, le prestige du thermalisme et le matraquage du marketing, les eaux minérales sont en effet considérées (à tort) comme les eaux de santé par excellence. De fait, l’Académie Nationale de Médecine leur reconnaît des propriétés favorables à la santé.
Selon l’OMS, les eaux minérales naturelles doivent par contre "être considérées comme des boissons plutôt que comme de l'eau potable au sens habituel du terme." En raison de leur pression osmotique plus élevée (liée à leur teneur en minéraux), nous sommes en effet davantage en présence "d’aliments" que d’eau de consommation courante biocompatible. Et comme nous sommes hétérotrophes, eh bien nous devrions plutôt limiter notre consommation d'eau minéralisée, au risque sinon d'épuiser nos reins.
Au final, l'eau de source faiblement minéralisée est une bien meilleure eau de consommation courante... mais cela ne résout pas la problématique plastique.
Côté administration, "Une eau de source est une eau d'origine souterraine, micro-biologiquement saine et protégée contre les risques de pollution". Elle se distingue d’une eau minérale par une teneur en minéraux pas forcément stable et donc l’absence possible d’allégation santé.
Via leur teneur stable en minéraux et en oligo-éléments, le prestige du thermalisme et le matraquage du marketing, les eaux minérales sont en effet considérées (à tort) comme les eaux de santé par excellence. De fait, l’Académie Nationale de Médecine leur reconnaît des propriétés favorables à la santé.
Selon l’OMS, les eaux minérales naturelles doivent par contre "être considérées comme des boissons plutôt que comme de l'eau potable au sens habituel du terme." En raison de leur pression osmotique plus élevée (liée à leur teneur en minéraux), nous sommes en effet davantage en présence "d’aliments" que d’eau de consommation courante biocompatible. Et comme nous sommes hétérotrophes, eh bien nous devrions plutôt limiter notre consommation d'eau minéralisée, au risque sinon d'épuiser nos reins.
Au final, l'eau de source faiblement minéralisée est une bien meilleure eau de consommation courante... mais cela ne résout pas la problématique plastique.