En vertu des directives de l’UE sur les allégations de santé, il n’est pas possible en soi de parler d’eau "thérapeutique". Mais comment qualifier alors une eau présentant des principes actifs ou des paramètres spécifiques, très différents des eaux de consommation courante ? D’eau "spécifique", "mieux-être", "de vitalité", "complément alimentaire" ?
Certaines eaux sont très intéressantes de part leurs propriétés énergétiques (qui rappelons-le concerne en premier lieu leur teneur en protons et en électrons) mais d'autres, trop déséquilibrées, sont à éviter sur le long terme. Dans tous les cas, la priorité demeure la qualité de l'eau de consommation courante afin d'assurer une hydratation de qualité.
Cette eau de consommation courante devrait idéalement avoir les paramètres suivants :
- Légèrement acide, soit un pH compris entre 5,5 et 6,8.
- Légèrement réductrice (anti oxydante) ou neutre, soit un rH2 compris entre 25 et 28.
- Légèrement minéralisée (entre 10 et 120 mg / l.), soit une résistivité supérieure à 6 000 ohms (et inférieure à 50 000 ohms).
Toute eau plus acide ou réductrice peut être considérée comme thérapeutique. Le cas des eaux minérales chargées en minéraux est par contre particulier : bien que l’Académie Nationale de Médecine en France leur reconnaît des propriétés favorables à la santé, nous sommes hétérotrophes et incapables d'assimiler correctement les minéraux des eaux, ce qui entraîne alors un surtravaille des reins. "Buvez, éliminez !" Ces eaux ne sont ainsi pas thérapeutiques mais délétères, tout comme les eaux chlorées du robinet (alcalines et oxydantes).
En vertu des directives de l’UE sur les allégations de santé, il n’est pas possible en soi de parler d’eau "thérapeutique". Mais comment qualifier alors une eau présentant des principes actifs ou des paramètres spécifiques, très différents des eaux de consommation courante ? D’eau "spécifique", "mieux-être", "de vitalité", "complément alimentaire" ?
Certaines eaux sont très intéressantes de part leurs propriétés énergétiques (qui rappelons-le concerne en premier lieu leur teneur en protons et en électrons) mais d'autres, trop déséquilibrées, sont à éviter sur le long terme. Dans tous les cas, la priorité demeure la qualité de l'eau de consommation courante afin d'assurer une hydratation de qualité.
Cette eau de consommation courante devrait idéalement avoir les paramètres suivants :
- Légèrement acide, soit un pH compris entre 5,5 et 6,8.
- Légèrement réductrice (anti oxydante) ou neutre, soit un rH2 compris entre 25 et 28.
- Légèrement minéralisée (entre 10 et 120 mg / l.), soit une résistivité supérieure à 6 000 ohms (et inférieure à 50 000 ohms).
Toute eau plus acide ou réductrice peut être considérée comme thérapeutique. Le cas des eaux minérales chargées en minéraux est par contre particulier : bien que l’Académie Nationale de Médecine en France leur reconnaît des propriétés favorables à la santé, nous sommes hétérotrophes et incapables d'assimiler correctement les minéraux des eaux, ce qui entraîne alors un surtravaille des reins. "Buvez, éliminez !" Ces eaux ne sont ainsi pas thérapeutiques mais délétères, tout comme les eaux chlorées du robinet (alcalines et oxydantes).