Le coût de l’eau a beau augmenter, le goût de l’eau a beau – parfois – s’améliorer, la potabilité à l’échelle d’une population est contradictoire avec le respect de l’énergétique de l’eau. Aucune technologie n’est capable d’alimenter une ville avec une eau propre et "vivante". L’eau de piètre qualité accompagne mécaniquement la civilisation moderne.
Accuser les pouvoirs publics, les régies ou les multinationales distributrices de l’eau est donc aussi ridicule que de reprocher aux routes de remplacer l’herbe ou de comporter des feux rouges. A leur niveau de responsabilité et au regard des contraintes technologiques, sanitaires et (aussi) budgétaire, les technocrates ou techniciens font de leur mieux !
Accordons-leur en tout cas le bénéfice du doute compte tenu des contraintes locales : s’il s’avérait que le chlore ou l’ozone peuvent être facilement remplacés en agglomération sans risque bactériologique, alors le scandale sanitaire serait énorme ! Idem pour l’aluminium et les autres substances du traitement… Technologiquement remplaçables ou non ? Conflit d’intérêt ou pas ?
Sans entrer dans la théorie du complot, ces questions méritent d’autant plus d’être posées que la présence de bactérie n’est pas forcément dommageable pour l’homme, au contraire de l’affaiblissement de son système immunitaire. La NASA a développé un traitement de purification par décharges électriques économique et (apparemment) sans risque. Des pays comme la Suède ou le Danemark réussissent à se passer quasiment de chlore… La phytoépuration donnerait également d’excellents résultats contre les micropolluants…
Mais tout cela induit un coût supplémentaire que nous ne sommes pas forcément prêt à payer. En tout cas pas les industriels ou les agriculteurs, premiers consommateurs de l'eau... et premiers pollueurs.
Non, la seule chose que les pouvoirs publics et les régies pourraient faire facilement est d’arrêter de mentir sur l'excellence de leur eau via leur marketing débridé. Cela ne couterait rien de plus et, pour peu que les mensonges soient remplacés par de l’information et proposition de solutions (filtration et dynamisation), cela renforcerait même la santé et la vitalité des citoyens.
Le coût de l’eau a beau augmenter, le goût de l’eau a beau – parfois – s’améliorer, la potabilité à l’échelle d’une population est contradictoire avec le respect de l’énergétique de l’eau. Aucune technologie n’est capable d’alimenter une ville avec une eau propre et "vivante". L’eau de piètre qualité accompagne mécaniquement la civilisation moderne.
Accuser les pouvoirs publics, les régies ou les multinationales distributrices de l’eau est donc aussi ridicule que de reprocher aux routes de remplacer l’herbe ou de comporter des feux rouges. A leur niveau de responsabilité et au regard des contraintes technologiques, sanitaires et (aussi) budgétaire, les technocrates ou techniciens font de leur mieux !
Accordons-leur en tout cas le bénéfice du doute compte tenu des contraintes locales : s’il s’avérait que le chlore ou l’ozone peuvent être facilement remplacés en agglomération sans risque bactériologique, alors le scandale sanitaire serait énorme ! Idem pour l’aluminium et les autres substances du traitement… Technologiquement remplaçables ou non ? Conflit d’intérêt ou pas ?
Sans entrer dans la théorie du complot, ces questions méritent d’autant plus d’être posées que la présence de bactérie n’est pas forcément dommageable pour l’homme, au contraire de l’affaiblissement de son système immunitaire. La NASA a développé un traitement de purification par décharges électriques économique et (apparemment) sans risque. Des pays comme la Suède ou le Danemark réussissent à se passer quasiment de chlore… La phytoépuration donnerait également d’excellents résultats contre les micropolluants…
Mais tout cela induit un coût supplémentaire que nous ne sommes pas forcément prêt à payer. En tout cas pas les industriels ou les agriculteurs, premiers consommateurs de l'eau... et premiers pollueurs.
Non, la seule chose que les pouvoirs publics et les régies pourraient faire facilement est d’arrêter de mentir sur l'excellence de leur eau via leur marketing débridé. Cela ne couterait rien de plus et, pour peu que les mensonges soient remplacés par de l’information et proposition de solutions (filtration et dynamisation), cela renforcerait même la santé et la vitalité des citoyens.