Les problématiques des bouteilles en plastiques PET sont de quatre ordres, chacune en soi suffisante pour en limiter drastiquement la consommation. Premièrement et cela devient banal de le dire : la pollution liée aux bouteilles. 15 000 bouteilles en plastiques sont vendues chaque seconde dans le monde générant 170 000 tonnes d'emballage en plastique PET auquel il convient de rajouter les films plastique de regroupement. Problème d'arithmétique: sachant qu'une bouteille en plastique met plus de 500 ans à se dégrader, combien de temps faudra-t-il avant que nous changions nos habitudes alimentaires ? Le recyclage ? Globalement, 12% seulement des bouteilles sont recyclées! Deuxièmement, la contamination possible de l'eau par la chimie du plastique. En mars 2018, nous apprenions que 93% des 250 bouteilles testées recelaient des particules de plastique (polypropylène, polytéréphtalates d'éthylène de son petit nom PET ou encore particules de nylon). Tout cela vient évidemment du processus d’embouteillage mais il est aussi très déconseillé d’exposer la bouteille plastique à la chaleur ou aux rayons directs du soleil… Troisième constat: l'eau en bouteille revient très chère, de 100 à 1 000 fois plus chère que l’eau du robinet, une absurdité économique alors qu’il est possible d’obtenir une qualité d’eau énergétiquement supérieure avec une solution de filtration + dynamisation installée chez soi. Enfin, et c’est selon nous le principal, l'eau en bouteille est "morte" ou sur le point de l'être c’est-à-dire privée d’énergie magnétique (protons) et électrique (électrons). Au lieu d’apporter de l’énergie à l’organisme, une eau oxydante va au contraire lui en pomper. Et si elle est en outre chargée en minéraux inassimilables (l’homme est hétérotrophe), alors elle épuisera progressivement les reins. Pour toutes ces raisons – et sans doute encore d’autres – le retour à la Source est le bon sens de l’eau et la bouteille en verre réutilisable une alternative très séduisante au plastique.

En étant un peu créatif, il est possible d’obtenir une eau biocompatible pour une fraction du coût des meilleurs systèmes. On partira d’une filtration à base de charbon actif sous évier de type Amilo. On complètera en dynamisation avec la nouvelle cruche à vortex. On terminera avec un pommeau de douche géothermale afin d’économiser l’eau et surtout respecter sa peau. Pour en savoir plus sur toutes ces solutions : https://www.lemieuxetre.ch/eau/frame_eau_solutions.htm

En appartement, il est rare d'avoir accès aux canalisations principales et l'on équipera donc plutôt un point d'eau unique. A ce niveau, le meilleur système est la combinaison de l'osmose inverse pour la filtration avec une double dynamisation en continue dans le réservoir, ce que propose la Fontaine Mélusine, proposée en Solution 1 pour Retour à la Source. L'osmose inverse est le meilleur système de filtration au monde car il ne laisse quasiment passer que l'eau et quelques ions (l'eau n'est donc jamais pure ce qui serait problématique). La double dynamisation dans le réservoir est l'approche Marcel Violet avec deux électrodes Cuivre-Or-Argent ainsi que l'écoute de musique classique en 432 Hz. Le résultat est une eau beaucoup plus douce et agréable à boire. La technologie est notée 10/20 (à cause des contraintes de l'osmose dont le rejet d'eau) mais la qualité d'eau obtenue est à 17/20. Pour en savoir plus sur les solutions appartement: https://www.solutionsbio.ch/copie-de-solutions-maison

En Maison, l'idéal est de disposer le système sur l'arrivée d'eau principale afin de disposer d'une eau biocompatible sur l'ensemble des robinets. Le meilleur système à ce jour est la combinaison du Biofiltre et du Biodynamizer, ce qui est proposé par Retour à la Source en Solution 3. Le Biofiltre enlève l'essentiel des polluants sans toucher aux minéraux et ainsi sans perte de pression ou gaspillage d'eau. L'ensemble gère efficacement le calcaire et remplace donc l'adoucisseur classique à sodium (qui dénature totalement l'eau potable). Le Biodynamizer et ses 21 procédés de dynamisation donnent à l'eau une qualité énergétique inédite, équivalente à de l'eau de source de montagnes. L'ensemble s'installe facilement par un plombier (ou un bon bricoleur) et nécessite comme seul entretien le changement du filtre tous les ans. Il obtient la meilleure note technologique du livre soit 18/20. Pour en savoir plus sur les solutions Maison: https://www.solutionsbio.ch/solutionsmaison

Le distillateur est le système de filtration le plus puissant au monde mais la distillation n’a pas grand-chose à voir avec l’évaporation naturelle de l’eau dans la nature. La « pureté » de l’eau est également problématique : avec quasiment 0 mg de minéraux, l’eau est trop vide et a tendance à pomper les minéraux (et les polluants) du corps. Elle ne pourra en outre pas être restructurée. D’où la nécessité d’y aller progressivement ou sous forme de cure ou, si l’on tient vraiment à la consommer au quotidien, de lui redonner des minéraux et/ou de l’information via quelques grains de sel non raffiné, gouttes de citron bio ou sérum de Quinton. Ces appareils n’intègrent aucun système de dynamisation. Si l’évaporation au naturel élimine bien l’information pollution, le fait de faire bouillir de l’eau passablement polluée dans une bouilloire (même sans plastique) durant plusieurs heures (même sereines) via un courant électrique (même muni d’une prise terre) n’est certainement pas la meilleure approche énergétique… d’autant qu’une eau en ébullition perd également les gaz (dont l’oxygène) naturellement présent. « Eau bouillue, eau globalement foutue ». Bref, l’eau distillée n’existe pas dans la nature et cela devrait suffire à nous rendre très circonspect…

Tout procédé d'embouteillage nuit forcément à la qualité de l'eau. Le plastique est la pire solution puisque la bouteille est moulée juste avant le remplissage, relarguant au passage des microparticules de plastique. Sur 250 bouteilles testées en mars 2018, 93% présentaient ainsi des résidus de plastique… La qualité de l'eau de la source sera bien mieux préservée dans une bouteille en verre... mais l'énergie de l'eau sera forcément en berne du fait du processus d'embouteillage lui-même et du stockage des bouteilles. Les données physico-chimiques de l’eau présentes sur l’étiquette sont les données à la source et non pas en bouteille après plusieurs semaines ou mois de stockage. Au final, toute eau en bouteille – idéalement faiblement minéralisée et acide à la source (pH < 7) – devrait donc être redynamisée avant d’être consommée.

Côté administration, "Une eau de source est une eau d'origine souterraine, micro-biologiquement saine et protégée contre les risques de pollution". Elle se distingue d’une eau minérale par une teneur en minéraux pas forcément stable et donc l’absence possible d’allégation santé. Via leur teneur stable en minéraux et en oligo-éléments, le prestige du thermalisme et le matraquage du marketing, les eaux minérales sont en effet considérées (à tort) comme les eaux de santé par excellence. De fait, l’Académie Nationale de Médecine leur reconnaît des propriétés favorables à la santé. Selon l’OMS, les eaux minérales naturelles doivent par contre "être considérées comme des boissons plutôt que comme de l'eau potable au sens habituel du terme." En raison de leur pression osmotique plus élevée (liée à leur teneur en minéraux), nous sommes en effet davantage en présence "d’aliments" que d’eau de consommation courante biocompatible. Et comme nous sommes hétérotrophes, eh bien nous devrions plutôt limiter notre consommation d'eau minéralisée, au risque sinon d'épuiser nos reins. Au final, l'eau de source faiblement minéralisée est une bien meilleure eau de consommation courante... mais cela ne résout pas la problématique plastique.

Pourquoi donc ouvrir le débat de la qualité et de l'énergie de l'eau ? Il serait tellement plus simple de s’en remettre à la simplicité de l’eau, à la transparence des pouvoirs publics, à la pureté des messages du marketing. Bref, à laisser couler… Mais si l’eau, en coulant, est capable de creuser la pierre, ne peut-elle également contourner et dépasser les préjugés et les malentendus ? C’est l’avantage de cette notion de qualité ou d'énergie : elle impose la subtilité. Impossible avec elle de rester sur le manichéisme bien/mal, polluée/pure, robinet/bouteille… A y regarder de plus près, au-delà des paramètres officiels, on perçoit alors une eau échauffée par ce qui lui arrive, cristallisée par le dogmatisme, troublée au point d’être parfois imbuvable… La majorité des problèmes de peau sont dus à une qualité d’eau potable chlorée et donc (très) oxydante (manque d'électrons et donc d'énergie électrique). La peau est asséchée et irritée, d’où le recours aux crèmes hydratantes et autres antirides. L’industrie de la cosmétique et son marché de plus de 200 milliards d’euros n’a aucun intérêt à ce que l’on améliore la qualité de l’eau. Une bonne proportion des problèmes de santé proviennent d’un manque d’hydratation via une qualité d’eau potable chlorée et donc (très) oxydante (toujours en manque d'électrons) et alcaline (peu de protons). Peu arrivent à boire la quantité d’eau nécessaire au métabolisme de leur organisme… Les laboratoires pharmaceutiques et leur marché de plus de 1000 milliards d’euros n’ont aucun intérêt à ce que l’on améliore la qualité de l’eau. L’essentiel des ventes d’eau en bouteille – 4 verres consommés sur 10 en France – découlent d’une perception négative de l’eau du robinet traitée et polluée. Les embouteilleurs et leur marché de 150 milliards d’euros n’ont aucun intérêt à ce que l’on améliore la qualité de l’eau. Nous ne sommes pas ici dans la théorie du complot mais dans un simple constat : les pouvoirs publics ont la responsabilité de prévenir tout risque sanitaire. Peu coûteux et faciles à mettre en œuvre, chlore et ozone sont utilisés afin de contenir autant que possible bactéries et autres virus. Mais chlore et ozone, oxydants majeurs, irritent et assèchent… ne permettent pas une bonne hydratation… entraînent ainsi des problèmes de peau et des pathologies sur le long terme… ce qui arrange indirectement de nombreux intérêts économiques ! Il n’y a pas de complot. Il y a juste un avantage économique, financier et donc aussi in fine politique à ne pas parler de la qualité de l’eau, à ne surtout pas parler de l'énergie de l'eau. Cette omerta est de loin le principal scandale de l’eau !

L'équipe est amenée à s'étoffer mais en voici déjà les principaux membres : Benoît Saint Girons Franco-Suisse, 50 ans, 3 enfants. Expert en Management. Consultant en solutions écologiques. www.solutionsbio.ch Auteur du livre La qualité de l’eau et d’une dizaine d’autres ouvrages. www.lemendiant.fr Webmaster du site de référence www.eaunaturelle.ch Fondateur de Retour à la Source. « La perfection est comme l’eau » (Lao Zi) Thierry Muraz Français, 56 ans, 2 enfants. Ingénieur chef de projet de formation. Co-fondateur d’un Centre de mieux-être en Haute-Savoie. Coach depuis 2004 via les élixirs floraux du bush australiens et une approche énergétique sur les sphères mentale, émotionnelle et physique. Spécialisé en qualité de l’eau et en plasma marin de Quinton avec conférences régulières. Commercial & Communicant Retour à la Source. « Ils ont oublié de lui dire que c’était impossible, il l’a fait » (Mark Twain) Christophe Carrette Belge, 51 ans, 3 enfants. Juriste, spécialiste de la dynamisation de l’eau. Fondateur de la société Dynamized Technologies et créateur du Biodynamizer www.biodynamizer.com Concepteur de la Houblonde, la première bière dynamisée au monde. www.houblonde.com Auteur du livre Ainsi va la Vie, recueil philosophique. Développeur des solutions de filtration et de dynamisation. « Observer, comprendre et copier la Nature » (Viktor Schauberger) Edgar Schnegg Suisse, 61 ans, 2 enfants. Dessinateur-Architecte. Assistant à maîtrise d’ouvrage. Factotum technique - technicien du son. Concepteur d’objets mobilier, immobilier et d’espace à vocation acoustique. Fondateur de l’association « Etat d’Esprit » Co-concepteur du présentoir et installateur de Sources expert. « Plus vous trouverez de raison dans un homme, plus vous trouverez en lui de probité » (Denis Diderot) Nathalie Frangu Franco-Suisse Graphiste - Si le site ressemble à quelque chose avec une identité propre et de petites mascottes sympathiques, c'est grâce à elle ! www.nalyfik.ch

Les inégalités devant l'accès à l'eau sont certainement le plus gros scandale géopolitique actuel. Nous ne pouvons pas refaire le monde mais nous pouvons essayer de le rendre un peu plus beau et égalitaire. Un pourcentage des revenus de Retour à la Source sera ainsi dévolu à la création de Sources solidaires dans les pays qui en ont le plus besoin. Ces projets seront portés sous l'égide de l'Association Retour à la Source en partenariat avec des ONG ou Associations locales.

Nous démarrons par la Suisse et la Haute-Savoie mais le retour à la Source est un mouvement de bon sens international. La création de Sources est possible - et souhaitable - dans tous les lieux où la qualité de l'eau est à améliorer c'est à dire quasiment partout dans le monde. Des équipes internationales seront ainsi constituées pays par pays. Contactez-nous si vous êtes intéressés.

L'eau est gratuite mais ce n'est pas le cas des bouteilles ou des technologies. Globalement, la rentabilité pour les Sourciers sera supérieure à la vente des eaux en bouteille. La rentabilité de la start-up sera quant à elle assurée via la multiplication des Sources et la diffusion de l'information. Tout le monde souhaite une eau de meilleure qualité et il se trouve que nous proposons les meilleures technologies. Après le remplissage gratuit à la Source, un certain nombre de Sourceurs souhaiteront dépasser le transport des bouteilles et équiper leur habitat. Pour un coût modique, ils pourront alors bénéficier de la même qualité d'eau chez eux.

La Communauté Cool de Source sera en effet le prolongement des Sources elles-mêmes et l'occasion de belles discussions voire rencontres. Sourceurs et Sourciers partagent en effet des valeurs communes en premier lieu desquelles une importance accordée à l'eau et à la nutrition de qualité. Contrairement à un réseau social bien connu, l'accent sera mis sur le qualitatif et non le quantitatif. Les inaugurations des Sources seront également l'occasion de rendre le réseau nettement moins virtuel et superficiel.

Pour le moment, vous n'avez pas encore trop l'embarras du choix mais viendra un moment où la carte interactive affichera de nombreuses Sources proches de chez vous avec trois technologies et donc qualité d'eau différente. Comment s'y retrouver ? Le plus facile serait naturellement de privilégier la Source des lieux que vous fréquentez déjà - surtout si vous y avez acheté la bouteille - mais, en matière d'eau, la curiosité est une vertu. La technologie de l'osmose inverse (Solution 1) procure une eau très propre et très faiblement minéralisée, douce et agréable en consommation courante mais également idéale pour une évolution vers les eaux thérapeutique (hydrogénées, oligo-éléments,...) L'ultrafiltration (Solution 2) n'enlève pas les minéraux et ne gaspille pas d'eau, ce qui enchantera les écologistes. L'eau offre une perception plus naturelle mais est du coup un peu moins propre ou énergétique. Le Biofiltre associé au Biodynamizer (Solution 3) offre la meilleure qualité énergétique de l'eau, sans perte des minéraux. Du fait de son énergie inégalée, c'est l'eau généralement la plus appréciée par l'organisme (qui en redemande souvent un deuxième verre) mais c'est aussi la technologie la plus couteuse, proposée pour les plus grands magasins bio ou les hôtels. Dans les trois cas, l'eau est biocompatible, très agréable à boire et ainsi optimisée pour l'hydratation des cellules (composées à 99,1% de molécules d'eau). Prendre une bouteille de chaque afin de confirmer sa préférence ? Dans tous les cas, vous ne pouvez pas vous tromper !

A terme, un site internet interactif permettra de localiser les Sources les plus proches de chez vous, de sélectionner sa qualité d'eau préférée, de poster ses photos de joyeux Sourceur... Pour le moment, nous sommes occupés à multiplier les Sources et nous commençons par la Suisse et la Haute-Savoie. Vous pouvez toutefois nous aider à accélérer les implantations en contactant les lieux susceptibles d'accueillir une Source (magasin bio, vrac, artisans, hôtels,...) afin de leur parler du projet. Si une Source est créée grâce à vous, vous deviendrez "Sourcier" et toucherez une commission. Veuillez nous contacter pour en savoir plus.

Nous partons de l'eau du robinet où le chlore et/ou l'ozone sont censés protéger de toute prolifération microbienne ou charge virale. Toute filtration élimine par contre le chlore et donc son système de défense. Et voilà l'eau dans un réservoir à température ambiante... Que croyez-vous qu'il se passe ? La contamination de l'eau via un filtre ne peut venir que de trois choses : - un mauvais entretien du filtre (ou un mauvais filtre) - un relargage de substances lorsque le filtre arrive à saturation - un mauvais stockage de l'eau obtenue Ce dernier point est le plus fréquent, notamment avec les solutions du gros commerce qui n'intègrent jamais la dynamisation de l'eau, carafe filtrante en tête. Toutes les solutions Retour à la Source intègrent de l'argent (antibactérien) ainsi la meilleure dynamisation possible : soit en continue dans le réservoir, soit au passage de l'eau (sans réservoir). Le chlore est éliminé mais l'eau est en mesure de se défendre et il n'y a donc aucun risque de prolifération microbienne. Surtout, l'eau est de qualité inédite, énergétiquement supérieure aux eaux "emplastiquées". Cette énergie de l'eau se conservera longtemps dans une bouteille en verre correctement stockée.

A Retour à la Source, nous essayons de ne pas raconter n'importe quoi et de ne pas sombrer dans les travers du marketing. L'eau mérite davantage de clarté et la levée d'un malentendu : l'eau pure n'existe pas ! En effet, l’eau est un solvant tellement puissant qu’elle n’est jamais totalement pure. H2O, très sociable, ne peut s’empêcher de s’associer et d’interagir avec l’extérieur et devient alors "solution aqueuse". Pour autant que l’on puisse l’obtenir, l’eau pure pourrait d’ailleurs être problématique pour la santé car déminéralisante. Dépourvue d'ions, elle serait également impossible à restructurer. La plupart des fabricants de systèmes de filtration se targuent ainsi d’obtenir une eau pure via… un mensonge publicitaire ou un abus de langage ! En réalité, aucun système ne permet d’obtenir une eau pure. Il est possible de tendre vers la pureté, jamais y être ou y rester. A tout prendre, nous préférons donc parler d'eau "propre".

L'eau en vrac est le bon sens de l'eau et l'eau possède en outre la limpidité pour contourner les obstacles... L'installation d'une Source prend au maximum une heure de temps. Son tarif démarre à 1600 euros HT. L'entretien est limité en osmose ou ultrafiltration à un nettoyage mensuel du réservoir de 7 litres sous dynamisation. En solution 3 (Biofiltre + Biodynamizer) et en l'absence d'évacuation, il conviendra de vider l'arrosoir placé sous le bac de remplissage des bouteilles. Vos plantes apprécieront ! La vente des bouteilles en verre munies de leurs étiquettes ne prend pas plus de temps que la vente d'autre chose et les Sourceurs se servent ensuite seuls et joyeusement à la Source. Une fois par an, un changement de filtre est requis. Si des clients souhaitent s'équiper, il convient de leur communiquer l'information de base et notre contact afin que nous nous occupions du reste. Voilà, c'est tout. Le surplus de ventes lié à des clients supplémentaires et/ou des visites plus régulières pour bénéficier de l'eau de qualité gratuite est en prime !

La bouteille en verre - pourtant à l'origine du concept - viendra finalement en seconde étape. Sa réalisation sur-mesure aurait pris trop de temps pour un budget conséquent. Trop peu de Sources auraient en outre été en mesure de la proposer aux Sourceurs. Nos ressources s'orientent donc plutôt sur la création des Sources. Les Sourciers pourront proposer la bouteille en verre de leur choix (la bouteille type limonade avec bouchon en céramique convient par exemple très bien) munie de l'étiquette au nom de leur Source. La bouteille spécifique sera développée d'ici une année environ et proposée en version exclusive via une opération de crowdfunding, ce qui permettra au passage de faire la promotion des Sources... et de la gratuité de l'eau de qualité !

Retour à la Source est né d'un triple constat : - Eau du robinet et eaux en bouteille sont dévitalisées et la plupart du temps pollués et non biocompatibles. - Les bouteilles plastiques sont une aberration énergétique et écologique. - Des technologies existent pour obtenir une eau de qualité supérieure à partir de l'eau du robinet. Au départ, l'idée était de proposer une bouteille en verre spécifique afin de préserver l'énergie d'une magnifique eau de source dans le Tarn (France). Le projet ne se faisant pas, la bouteille fut recyclée dans le projet d'eau en vrac. La gratuité du remplissage après l'achat de la bouteille (vieille idée suisse) s'est rapidement imposée comme allant dans le bon sens de l'eau : l'eau est un bien commun qui doit être accessible à tous ! De nouvelles technologies sont apparues, permettant de proposer une solution quelque soit la configuration du lieu : osmose inverse, ultrafiltration ou biodynamisation. A chaque fois, la qualité d'eau est optimisée et sans risque de contamination. Le coût des équipements étant en outre abordable (à partir de 1600 euros HT), il est possible de proposer aux usagers des Sources (les Sourceurs) de s'équiper et de créer une Source chez eux, évitant ainsi à terme le transport des bouteilles. Sourceurs et Sourciers se retrouvent à la Source pour échanger sur le sujet, la Communauté Cool de Source permettant de prolonger le contact (et plus si affinités.) Globalement, les perspectives s'élargissent et un autre paradigme énergétique devient possible : liberté, limpidité, vitalité ! C'est tout cela le retour à la Source et au bon sens de l'eau...