Les agriculteurs et les industriels sont les premiers consommateurs d’eau potable mais aussi les premiers pollueurs. Que peut donc faire un citoyen face à eux ?
Selon la formulation de Coluche "Quand on pense qu'il suffirait que les gens n'achètent pas pour que ça ne se vende plus", 3 angles pour travailler en amont :
1. Limiter sa consommation de médicaments susceptibles de se retrouver dans les toilettes: 80% des résidus de médicaments viennent des particuliers, 20% des hôpitaux. Dans la plupart des pathologies, des solutions naturelles (huiles essentielles en tête) sont toutes aussi efficaces… et nettement moins dangereuses.
2. Limiter sa consommation tout court et donc son « empreinte eau », en moyenne de 4000 litres d’eau virtuelle par jour ! Il faut de 15 à 20 000 litres d’eau pour produire 1 kg de bœuf, dix fois moins pour 1 kg de blé. Un litre de lait requiert 1 000 litres d'eau et un seul morceau de sucre blanc 10 litres. Record avec le kg d’antibiotique qui, selon le film La soif du monde de Yann-Arthus Bertrand, nécessite 1 million de litres d’eau !
3. Privilégier l’agriculture biologique. L'agriculture productiviste est, via l’irrigation, le premier consommateur d’eau douce de la planète avec 70% des prélèvements. C’est aussi le premier pollueur des cours d’eau et des nappes phréatiques…
Et en aval ? Eh bien comme les pollutions perdureront mais qu'il n'y a pas de raison de les favoriser, il convient de cesser de s'alimenter en bouteilles plastique et de s'équiper d'un bon système associant filtration et dynamisation afin de traiter correctement son eau du robinet. Alternativement, de retourner à la Source !
Les agriculteurs et les industriels sont les premiers consommateurs d’eau potable mais aussi les premiers pollueurs. Que peut donc faire un citoyen face à eux ?
Selon la formulation de Coluche "Quand on pense qu'il suffirait que les gens n'achètent pas pour que ça ne se vende plus", 3 angles pour travailler en amont :
1. Limiter sa consommation de médicaments susceptibles de se retrouver dans les toilettes: 80% des résidus de médicaments viennent des particuliers, 20% des hôpitaux. Dans la plupart des pathologies, des solutions naturelles (huiles essentielles en tête) sont toutes aussi efficaces… et nettement moins dangereuses.
2. Limiter sa consommation tout court et donc son « empreinte eau », en moyenne de 4000 litres d’eau virtuelle par jour ! Il faut de 15 à 20 000 litres d’eau pour produire 1 kg de bœuf, dix fois moins pour 1 kg de blé. Un litre de lait requiert 1 000 litres d'eau et un seul morceau de sucre blanc 10 litres. Record avec le kg d’antibiotique qui, selon le film La soif du monde de Yann-Arthus Bertrand, nécessite 1 million de litres d’eau !
3. Privilégier l’agriculture biologique. L'agriculture productiviste est, via l’irrigation, le premier consommateur d’eau douce de la planète avec 70% des prélèvements. C’est aussi le premier pollueur des cours d’eau et des nappes phréatiques…
Et en aval ? Eh bien comme les pollutions perdureront mais qu'il n'y a pas de raison de les favoriser, il convient de cesser de s'alimenter en bouteilles plastique et de s'équiper d'un bon système associant filtration et dynamisation afin de traiter correctement son eau du robinet. Alternativement, de retourner à la Source !