Les carafes filtrantes ont la côte grâce à leur tarif attractif et à l’amélioration franche du goût de l’eau. Plébiscités par les usagers, plusieurs tests ou reportages ont toutefois révélé leurs limites voire dangers, à la grande satisfaction des revendeurs d’eaux en bouteilles...
Un usage classique en famille génère en effet une prolifération microbienne: jusqu'à 200 000 germes/ml alors que les recommandations sont de 100 germes/ml ! Un nettoyage régulier et un entreposage au réfrigérateur limiterait les risques mais boire de l'eau trop fraîche est également problématique. Certaines cartouches contiennent du sel d’argent pour limiter l'apparition des germes mais ce métal peut alors se retrouver dans l’eau…
Les polluants œstrogènes du plastique de la carafe sont limités par l’absence de chauffe mais pas celui de désorption massif des polluants si la cartouche n’est pas changée très régulièrement. Des rigoles d’eau se forment en effet dans les granules pour une capacité d’adsorption au final relativement limitée. Cela tombe bien : le renouvellement régulier des cartouches est au cœur du business modèle !
Une carafe mal utilisée cumule les risques et prête donc facilement le flanc aux critiques. Sans considérations énergétiques – et donc grande réflexion – de la part des médias, la cause est entendue : les carafes sont inutiles et à éviter !
Un bon usage et des filtres sans ajout de sodium permettent pourtant d’obtenir une filtration de base à bon compte, à partir de l’eau du robinet. Il conviendra pour limiter les risques de partir sur une carafe nettoyée et un filtre neuf et de les coupler à un principe de dynamisation style cruche à vortex. L’eau filtrée sera immédiatement dynamisée. La carafe filtrante vide (oui : vide !) sera alors stockée au réfrigérateur afin d’éviter toute prolifération microbienne au niveau du filtre via les microgouttelettes stagnantes. Alors la qualité de l'eau s’améliore !
Les carafes filtrantes ont la côte grâce à leur tarif attractif et à l’amélioration franche du goût de l’eau. Plébiscités par les usagers, plusieurs tests ou reportages ont toutefois révélé leurs limites voire dangers, à la grande satisfaction des revendeurs d’eaux en bouteilles...
Un usage classique en famille génère en effet une prolifération microbienne: jusqu'à 200 000 germes/ml alors que les recommandations sont de 100 germes/ml ! Un nettoyage régulier et un entreposage au réfrigérateur limiterait les risques mais boire de l'eau trop fraîche est également problématique. Certaines cartouches contiennent du sel d’argent pour limiter l'apparition des germes mais ce métal peut alors se retrouver dans l’eau…
Les polluants œstrogènes du plastique de la carafe sont limités par l’absence de chauffe mais pas celui de désorption massif des polluants si la cartouche n’est pas changée très régulièrement. Des rigoles d’eau se forment en effet dans les granules pour une capacité d’adsorption au final relativement limitée. Cela tombe bien : le renouvellement régulier des cartouches est au cœur du business modèle !
Une carafe mal utilisée cumule les risques et prête donc facilement le flanc aux critiques. Sans considérations énergétiques – et donc grande réflexion – de la part des médias, la cause est entendue : les carafes sont inutiles et à éviter !
Un bon usage et des filtres sans ajout de sodium permettent pourtant d’obtenir une filtration de base à bon compte, à partir de l’eau du robinet. Il conviendra pour limiter les risques de partir sur une carafe nettoyée et un filtre neuf et de les coupler à un principe de dynamisation style cruche à vortex. L’eau filtrée sera immédiatement dynamisée. La carafe filtrante vide (oui : vide !) sera alors stockée au réfrigérateur afin d’éviter toute prolifération microbienne au niveau du filtre via les microgouttelettes stagnantes. Alors la qualité de l'eau s’améliore !